REUNION
DU CONSEIL DU 24 MAI 2002
Nombre de Conseillers en exercice : 13
Présents : 11 Votants : 12
Convocation du 16 mai 2002 Affichage du 29 mai 2002
L'an deux mil deux, le 24 mail, à 20 H 30, légalement convoqué, le
Conseil Municipal s'est réuni sous la présidence de M. HERBÉ
Etaient présents : Mesdames et
Messieurs FORCHELET, STEPHAN, SIMONAIRE, FRANÇOIS, BEIX, MONTOYA, VILLAUME,
GRENTZINGER, BAROTTIN, MUNIER.
Excusé(e) : Mme SCHWALLER qui donne pouvoir à Mme
FORCHELET
Absent(s) : Mme
Françoise SCHREMER
Secrétaire de séance : Mme FORCHELET
BUDGET COMMUNAL – COMPTE ADMINISTRATIF 2001
Le Conseil Municipal a approuvé, à la majorité,
le compte administratif 2001 qui se présente ainsi :
Fonctionnement :
Dépense de fonctionnement 1 213 401,93 F
Recettes de fonctionnement 1 671 582,10 F
Résultat de l'exercice 458 180,17 F
Résultat de clôture 867 468,73 F
Investissement :
Dépenses d'investissement 514 562,59 F
Recettes d'investissement 667 412,10F
Résultat de l'exercice 152 849,52 F hors restes à réaliser
Reste à réaliser -286 690.01 F
Résultat de clôture -240 044.79 F
Besoin de financement 526 734,80 F
M. HERBE a quitté la salle et n’a
pas participé au vote.
Le Conseil Municipal, à l'unanimité, après avoir pris connaissance du compte de gestion de M. le Comptable public et s'être assuré de la concordance des comptes présentés par l'ordonnateur et le comptable :
- approuve les comptes qui lui sont présentés se référant à l'exercice budgétaire 2001,
- considérant qu'il est nécessaire de procéder à l'affectation du résultat
- constatant que le compte administratif fait apparaître un excédent de 867 468,73 F
- décide d'affecter le résultat comme suit :
Affectation en réserves R 1068 en investissement : 526 734,80 F.
BUDGET D'ASSAINISSEMENT – COMPTE ADMINISTRATIF
2001
Le conseil Municipal a approuvé, à
la majorité, le compte administratif 2001 qui se présente ainsi
Fonctionnement :
Dépenses de fonctionnement 89 972,30 F
Recettes de fonctionnement 11 479,29 F
Résultat de l'exercice -78 493.01 F
Investissement :
Dépenses d'investissement 45 047,93 F
Recettes d'investissement 154 791,65 F
Résultat de l'exercice 109 743,72 F
Résultat de clôture 209 386,37 F
M. HERBE a quitté la salle et n’a
pas participé au vote.
Le Conseil Municipal, à l'unanimité, après avoir pris connaissance du compte de gestion de M. le Comptable public et s'être assuré de la concordance des comptes présentés par l'ordonnateur et le comptable :
- approuve les comptes qui lui sont présentés se référant à l'exercice budgétaire 2001,
- considérant qu'il est nécessaire de procéder à l'affectation de l'excédent,
- constatant que le compte administratif fait apparaître un déficit d'exploitation de 53 087,79 F
- décide d'affecter le résultat d'exploitation comme suit :
Déficit à reporter : 53 087,79 F.
MODIFICATION DU BUDGET ASSAINISSEMENT 2002
La Préfecture demande que le montant
des dépenses imprévues au budget d’assainissement 2002, section d’exploitation,
soit conforme au maximum autorisé et par conséquent soit ramené à 1 007 E. Le
Maire propose de modifier le budget comme suit :
Compte 004 : - 993 E
Compte 615 : + 993 E
Après en avoir délibéré, le Conseil
Municipal, à l’unanimité, approuve la modification budgétaire proposée.
La loi n° 2002-276 du 26 février
2002 relative à la démocratie de proximité comporte en particulier la
revalorisation des indemnités des adjoints.
Les indemnités sont désormais
versées en fonction d’un pourcentage de l’indice brut terminal de l’échelle
indiciaire de la fonction publique soit l’indice brut 1015.
Actuellement, cela représenterait pour
la commune, compte tenu de la population, 8.25 % de l’indice 1015 soit 293,87
Euros/mois au lieu de 242,22 E.
A titre indicatif, le Maire rappelle
que, par délibération du 12 avril 2001, Mme FORCHELET, 1ere adjointe s’est vu
attribuer la totalité de ses indemnités, soit 17 % de 40 % de l’indice 1015 et
MM. BAROTTIN et GRENTZINGER, 13 % de 40 % de l’indice 1015.
En ce qui concerne l’indemnité du Maire, l’article 78.1 de la loi du 27 février 2002 stipule que dans les communes de moins de 1000 habitants, l’attribution aux maires de leur indemnité au taux maximal fixé par l’article L. 2123-23 du Code Général des Collectivités territoriales est automatique sous réserve d’un décision contraire des Conseillers Municipaux. M. HERBE rappelle qu’il ne souhaite toujours pas bénéficier de la totalité de l’indemnité qui lui est due mais seulement de la moitié. En conséquence, il demande au Conseil Municipal de se prononcer en se sens. En ce qui concerne, les indemnités des adjoints, il demande que Mme FORCHELET bénéficie de la totalité de l’indemnité qui est prévue mensuellement soit 293.87 E (ou 1.927,66 F) et que les 2eme et 3eme adjoint perçoivent respectivement, selon leur souhait, que 5.2% au lieu de 8,25 % soit 185,22 E (ou 1.214,96 F).
Le Maire précise que le décret, exceptionnellement, prévoit un effet rétroactif de la décision pour des raisons de délais d’application.
Après en avoir délibéré, le Conseil
Municipal, considérant que la commune compte actuellement une population
municipale de 650 habitants, décide :
·
Selon sa demande,
l’indemnité du Maire : M. Christian HERBE reste, à compter du 1er
mai 2002, calculée par référence au barème fixé par l’article L.2123.23-1 du
Code Général des Collectivités Territoriales, pour la strate de population
correspondant à celle de la commune : 650 habitants, à 15,5 % de l’indice
1015 soit 552,12 E/mois
·
L’indemnité de Mme
Nadine FORCHELET, 1ere adjointe, sera, à compter du 1er mai 2002,
calculée par référence au barème fixé par l’article L2123-24 du Code Général
des Collectivités Territoriales pour la strate de population correspondant à
celle de la commune : 650 habitants : indemnité maximale de 8,25 % de
l’indice 1015, soit 293,87 E/mois
·
Selon son vœu,
l’indemnité de M. BAROTTIN Laurent, 2eme adjoint, sera, à compter du 1er
mai 2002, calculée par référence au barème fixé par l’article L2123-24 du Code
Général des Collectivités Territoriales pour la strate de population
correspondant à celle de la commune : 650 habitants : indemnité
ramenée à 5.2% de l’indice 1015, soit 185,22 E/mois
·
Selon sa demande,
l’indemnité de M. GRENTZINGER Pascal, 3eme adjoint, sera, à compter du 1er
mai 2002, calculée par référence au barème fixé par l’article L2123-24 du Code
Général des Collectivités Territoriales pour la strate de population correspondant
à celle de la commune : 650 habitants : indemnité ramenée à 5.2 % de
l’indice 1015, soit 185,22 E/mois.
Pour répondre à l’obligation fixée
par la loi du 27 février 2002, l’ensemble des indemnités allouées à ses membres
par l’assemblée délibérante se résume selon le tableau ci-après :
Nom et Prénom |
Fonction |
Base indice 1015 |
Taux maximum autorisé |
Taux attribué au 1/5/02 |
Montant mensuel |
HERBE Christian |
Maire |
3562,11 E |
31% |
15,5 % |
552,12 E |
FORCHELET Nadine |
1ere Adjointe |
3562,11 E |
8,25% |
8,25 % |
293,87 E |
BAROTTIN Laurent |
2eme Adjoint |
3562,11 E |
8,25 |
5,20 % |
185,22 E |
GRENTZINGER Pascal |
3eme Adjoint |
3562,11 E |
8,25% |
5,20% |
185,22 E |
Ces indemnités subiront
automatiquement et immédiatement les majorations correspondant à l’indice brut
terminal de l’échelle indiciaire de la fonction publique.
Les crédits nécessaires seront
inscrits au compte 6531 du budget.
Il est précisé que cette
délibération est prise sans que les intéressés aient pris par au vote des
indemnités les concernant.
Vote contre le versement d’indemnités
partielles : M. SIMONAIRE
Lors de la dernière réunion, il
avait été convenu de trancher le débat concernant le choix de clôture pour le
nouveau cimetière. Un compromis avait été trouvé en proposant la construction
d’un mur parallèle au chemin et la clôture du reste avec du grillage.
Les monuments historiques ont été
consultés. Il s’avère que la Tour Romane que l’on croyait classée ne l’est
pas : le dossier a bien été monté mais le classement n’est jamais
intervenu.
Compte tenu des devis présentés :
- 42 230,41 E H.T. pour 172 m de mur
- 12 160,85 E H.T. pour la clôture
Le Conseil, à l’unanimité, retient
le principe de clore, par un mur, la partie située devant le chemin (environ 40
m) et le reste par du grillage. Des devis seront redemandés compte tenu de
cette solution.
Par délibération du 14 mars 2002, il
a été décidé de «buser» le fossé rue de la Borde, route de BUISSONCOURT, afin
d’éviter la stagnation des eaux alors qu’un pavillon va être construit sur la
parcelle voisine.
Le Maire précise que ces travaux
s’élèvent à la somme de 2 872,60 E (devis de l’Entreprise BONINI).
Après en avoir délibéré, le Conseil
Municipal, à l’unanimité,
-
accepte le devis
BONINI pour 2 872,60 E
-
confirme la
décision prise le 14 mars 2002, à savoir la couverture du fossé pour un montant
de 2 872,60 E.
-
demande une
subvention auprès du Conseil Général au titre de la dotation d’équipement.
-
s’engage à financer
la dépense non couverte par la subvention.
- autorise le Maire à signer tout document nécessaire à ce dossier.
Madame Marie-Jeanne DUBUY
précédemment domiciliée à HARAUCOURT, 15 rue du Port, a, par testament, légué
la totalité de sa propriété sise 15 rue du Port à HARAUCOURT (maison, terrain
et meubles), à la commune de HARAUCOURT.
Le Maire précise que suite au décès
de Mme DUBUY le 1er février dernier, le Conseil Municipal doit
approuver ou non le legs sachant que seules trois conditions ont été
formulées :
-
l’entretien de sa
tombe située au cimetière de HARAUCOURT à la charge de la commune
-
l’engagement de ne
jamais vendre la propriété
ce à quoi il s’est engagé en cas
d’acceptation du legs par le Conseil. Le Maire précise qu’il s’est également
engagé à faire célébrer deux messes par an, ce que désirait également Mme DUBUY
mais qu’il souhaite prendre à sa charge personnelle cette demande à charge,
pour son successeur, de la faire perdurer.
Le Conseil Municipal, après en avoir
délibéré, à l’unanimité,
-
accepte le legs de
Madame Marie-Jeanne DUBUY comprenant l’ensemble de la propriété sise 15 rue du
Port
-
s’engage à
entretenir la tombe de la défunte,
-
s’engage à ne pas
vendre l’immeuble désigné par ce legs,
-
décide que la
commune prendra à sa charge financière les frais découlant des deux offices
demandés par la défunte, ceux-ci ne devant pas être à la charge du Maire,
-
autorise le Maire à
signer tous les documents découlant de cette succession.
Lorsque la succession sera
définitive, une visite de la propriété sera organisée pour le Conseil. Si
d’autres personnes veulent se joindre ou émettre des idées sur la destination
de cette maison, elles doivent le signaler à la mairie ou à un élu.
Les consorts POIREL étaient propriétaires
d'environ 85 Ha de terres agricoles et d'un corps de ferme sis 43 rue du Port,
cadastré AH 157, donc soumis, à la fois au droit de préemption urbain en faveur
de la commune par sa position en zone UA du POS et au droit de préemption rural
en faveur de la Société d'aménagement foncier et d'établissement rural de
Lorraine (SAFERL) par son statut de bâtiment agricole.
Par acte reçu par Me CHONE en date du 2 janvier
1991, les consorts POIREL ont vendu la totalité des biens cités à la SAFERL. Le
même jour, Me CHONE a reçu un second acte contenant revente par la SAFERL à la
Sté SOLVAY d'un ensemble de 35 HA 70 et des bâtiments cadastrés AH 157
anciennement propriétés des consorts POIREL et mentionnés ci-dessus. Les autres
terrains furent rétrocédés ultérieurement aux agriculteurs de HARAUCOURT
provoquant ainsi un démembrement de l'entité initiale.
Le 3 novembre 1992, la Commune de HARAUCOURT a
assigné, devant le T.G.I. de NANCY, la SAFERL et la Sté SOLVAY aux fins
d'entendre prononcer la nullité de la vente pour violation des dispositions
relatives au droit de préemption urbain. Cette demande étant fondée sur le fait
que le notaire a omis d'adresser la déclaration d'aliéner de la parcelle AH
157.
Les adversaires de la commune se sont défendus en
faisant valoir que le droit de préemption urbain ne pouvait s’exercer que sur la parcelle AH157 alors
que la propriété vendue (terres et bâtiments) constituait une entité
indivisible au regard du code rural.
Par jugement en date du 11 décembre 1995, le
T.G.I. de NANCY a déclaré la demande de la commune irrecevable faute d'intérêt
à agir. La commune a interjeté appel de ce jugement. A ce jour, le litige est
pendant devant la cour d'appel de Nancy.
Par délibération du 11 mai 2000, le Conseil
Municipal a chargé le Maire, M RICARD, de mener des négociations en vue de
trouver un accord amiable assorti d'une indemnisation en faveur de la commune.
Ces négociations n'ont pas abouti.
Par délibération du 23 mai 2001, le Conseil,
présidé par M. HERBE, s'est prononcé en faveur d'un désistement de la commune
contre l'engagement des adversaires à ne pas poursuivre la commune et la
recherche de mesures compensatoires.
Après un an de négociations laborieuses, Me
CHONE, la SAFERL, la Sté SOLVAY et la commune de HARAUCOURT sont arrivés à un
accord détaillé dans la convention annexée à la présente délibération. Ce
protocole stipule en particulier que :
- la commune de HARAUCOURT se désiste de tous
recours liés à cette affaire.
- les parties précitées s'engagent à n'entreprendre aucune poursuite liée à
cette affaire
- la Sté SOLVAY accepte d'abonder la
réserve foncière communale sous forme de cession, pour l’euro symbolique, de 6
HA 82 A 69 CA de terres agricoles : parcelles cadastrées AD 210, 212, 214,
215 lieu dit « La Perche » et AK 198, 234 lieu dit « A St
Don » sises sur le territoire de HARAUCOURT.
Selon les informations portées à la connaissance
du Maire, un accord bilatéral a été négocié entre les consorts POIREL et les
autres adversaires de la commune : c'est la raison pour laquelle la
famille POIREL n’apparaît pas dans le protocole annexé.
En marge de cet accord, et pour marquer la
"normalisation" de ses rapports avec la commune, la Sté SOLVAY s'est
verbalement engagée à céder gratuitement une copie informatique de la
digitalisation du
cadastre en cours de réalisation : ce qui représente une valeur d'environ
5.000 E.
La même société a également indiqué qu'elle étudierait les textes du code
général des impôts (article 1519 et article 312 de l'annexe II) pour rechercher
une amélioration éventuelle de la redevance minière perçue par la commune.
Après en avoir délibéré, le Conseil Municipal, à l’unanimité,
-
accepte la
proposition qui lui est faite par les adversaires et décide, si cet engagement
est concrétisé, de retirer son action en justice.
-
autorise le Maire à
signer tous documents nécessaires au règlement de ce dossier ainsi qu’à la
donation proposée.
RENOUVELLEMENT D’UN CONTRAT C.E.S.
Le contrat C.E.S. de Sébastien
BILLION arrivant à expiration le 5 août prochain, il convient de se prononcer
sur son renouvellement pour une deuxième année.
M. BILLION donnant satisfaction, le
Maire propose de le lui renouveler pour une durée de 12 mois.
Le Conseil Municipal, à l’unanimité,
décide de renouveler le contrat de M. Sébastien BILLION pour une durée de 12
mois qui commencera le 6 août prochain pour se terminer le 5 août 2003.
Le Maire est autorisé à signer tous
documents nécessaires à ce renouvellement.
Par délibération du 22/11/2001, le Conseil Municipal a décidé de ne plus utiliser ce véhicule pour cause de coût de réparations trop important. La législation sur les véhicules d’occasion ne permet pas la revente à un particulier sans contrôle technique, le Maire propose d’accepter l’offre de reprise du garagiste de HARAUCOURT moyennant un don de 75 E.
Le Conseil Municipal, après en avoir
délibéré, à l’unanimité, accepte l’offre faite par le garagiste concernant
l’enlèvement du véhicule moyennant une libéralité de 75 E, somme qui sera
versée au C.C.A.S. de HARAUCOURT.
Suite à la dépose des répartiteurs
situés dans le local chemin de SOMMERVILLER, il a été nécessaire de trouver un
arrangement avec le S.D.I.S. afin de mettre en recouvrement les frais de
chauffage de la partie concernant les sapeurs pompiers pour l’année 2001.
Il semble que la moyenne de
chauffage sur les trois dernières années, pour cette partie du local, donnerait
satisfaction aux deux parties.
Pour 2001, cela fait : 1 392,95
F (1998) + 3 141,67 F (1999) + 4 444,60 F (2000) = 8 979,22 F ou 1 368,87 E,
soit une moyenne de 456, 29 E.
Après en avoir délibéré, le Conseil
Municipal, à l’unanimité, autorise le Maire à mettre en recouvrement, comme frais
de chauffage auprès du S.D.I.S., la moyenne de chauffage des trois dernières
années pour la partie occupée par le corps de sapeurs-pompiers, soit la somme
de 456,29 E pour l’année 2001.
Lors du vote du budget 2002, une somme de 120 E a été inscrite au compte 6535 (formations des élus). Le Maire précise que compte tenu de la loi 2002-276 du 27 février 2002 et son article 99, il est obligatoire pour les assemblées locales de délibérer sur la formation des élus locaux et de déterminer les orientations et les crédits ouverts à ce titre.
Afin de répondre à cette obligation,
le Maire propose d’augmenter de 155 E les crédits ouverts au budget 2002. Les
élus se verront proposer des formations en fonction des dossiers qu’ils auront
à étudier.
Après en avoir délibéré, le Conseil
Municipal, à l’unanimité,
- accepte de voter la somme de 155 E
supplémentaire au compte 6535 «formations des élus» en prélevant la même
somme sur le compte dépenses imprévues : compte 022.
-
demande au Maire de
les informer sur les formations qui pourront leur être proposées en cours
d’année.
Par délibération du 11/10/2001, un poste d’agent d’entretien a été créé et M. ROSSI a été embauché pour cet emploi. Le Maire demande au Conseil, compte tenu du fait que M. ROSSI donne entière satisfaction, qu’il ne soit plus considéré comme agent d’entretien non titulaire à temps non complet mais qu’il soit agent d’entretien stagiaire à temps non complet à raison de 20 H par semaine ce qui permettrait sa titularisation au bout d’une année de stage et d’évoluer dans sa carrière.
Pour cela, le Maire demande que soit
fermé le poste actuel afin d’ouvrir un poste d’agent stagiaire à temps non
complet à raison de 20 H par semaine.
Après en avoir délibéré, le Conseil
Municipal, à l’unanimité, décide, à partir du 1er juin 2002, de
fermer le poste d’agent d’entretien non titulaire à temps non complet de 20 H
par semaine et d’ouvrir un poste d’agent stagiaire à temps non complet à raison
de 20 H par semaine.
Il charge le Maire d’effectuer les
démarches administratives nécessaires à cet emploi et l’autorise à signer
toutes les pièces nécessaires.
TENUE DES SCRUTINS DES 9 ET 16 JUIN 2002 : Les personnes qui souhaitent se porter volontaires pour tenir le scrutin du 16 juin 2002 peuvent se faire inscrire en mairie.
A l’heure actuelle, les scrutateurs sont les suivants, pour le 9 juin 2002 :
8 H à 10 H 00 |
10 H 00 à 12 H 00 |
12 H 00 à 14 H 00 |
14 H 00 à 16 H 00 |
16 H 00 à 18 H 00 |
Dépouillement |
FORCHELET N. |
VILLAUME P. |
HERBE C. |
STEPHAN
B. |
MONTOYA
A. |
FORCHELET N. |
MUNIER P. |
BEIX P. |
MALASSENE Jacques |
HERBE V. |
FRANCOIS J. |
FRANCOIS J. |
CHODEK D. |
POIREL P. |
|
M.
GRENTZINGER P. |
SIMONAIRE A. |
SIMONAIRE A. |
Pour le scrutin du 16 juin 2002, les prévisions sont les suivantes :
8 H à 10 H 00 |
10 H 00 à 12 H 00 |
12 H 00 à 14 H 00 |
14 H 00 à 16 H 00 |
16 H 00 à 18 H 00 |
Dépouillement |
MONTOYA A. |
BEIX P. |
HERBE C. |
SCHWALLER M-O. |
FAGOT-REVURAT
Y. |
FORCHELET N. |
MUNIER P. |
|
|
GRENTZINGER P. |
RAPIN H. |
RAPIN H. |
CHODEK D. |
|
|
|
SIMONAIRE A. |
SIMONAIRE A. |
A noter, nous avons toujours besoin de personnes supplémentaires pour pallier un désistement de dernière minute.
PROCHAINE REUNION DU CONSEIL : le jeudi 20 juin 2002 à 20 H 30 en mairie.
COMMUNICATION :
Afin de gagner du temps lorsque l’on doit «convoquer» ou informer un des administrés de la commune (arrivée d’une carte d’identité, d’un permis de construire, demande de pièces ou autre), nous souhaiterions connaître les coordonnées de chacune des familles de la commune soit les numéros de téléphone lorsqu’ils sont sur liste rouge (la mairie s’engage à ne les divulguer sous aucun prétexte), un numéro de télécopie avec lequel il est possible d’être joint (fax sur un lieu de travail par exemple dans la mesure où cela ne provoque aucune gêne ou grief sur le lieu de travail) ou encore un e-mail.
Il est à noter que le caractère confidentiel de l’information, s’il y a lieu, sera préservé.
Merci de nous les communiquer soit par courrier déposé dans la boite à lettres de la mairie, soit par téléphone : 03.83.48.29.16, par télécopie au 03.83.45.17.25 ou par e-mail : MairiedeHaraucour@wanadoo.fr
Le Conseil Municipal, lors de sa réunion du 23 mars 2002, a voté une subvention d’un montant global de 3.000 Euros en faveur des jeunes de la commune dans le but de rééquilibrer l’aide sociale.
En résumé :
Pour qui ?
Les jeunes habitant HARAUCOURT ayant 3 ans au moins en fin d’année prise en compte et 18 ans au plus en début d’année prise en compte. Les enfants scolarisés sur le village et domiciliés en dehors de la commune seront pris en compte afin de ne pas créer de différence de traitement au sein de l’école communale. Inversement, la subvention ne sera pas versée en faveur d’activités organisées par un autre établissement du cycle primaire sauf si l’enfant y est scolarisé pour des raisons médicales ou pédagogiques.
Pour quoi ?
Toutes activités extra scolaires organisées par l’établissement : les colonies de vacances et centres aérés, les sports, les activités culturelles.
Comment ?
Une seule demande par an et par personne. Un imprimé émis par la mairie et co-signé par le tuteur légal et par l’organisateur ou, à défaut, un justificatif de séjour plus une lettre du tuteur.
Quels organisateurs ?
Les établissements scolaires, les associations, le comités d’entreprises, les centres de loisirs.
Combien ?
8 Euros par an et par personnes avec une majoration de 50 % (12 Euros) s’il s’agit d’un projet «Jeunesse et Territoire» et majoration de 100 % (16 Euros) s’il l’activité se déroule sur HARAUCOURT.
A partir de quand ?
Une délibération ne pouvant avoir d’effet rétroactif, seules les activités postérieures au 23 mars 2002 seront retenues.