REUNION DU CONSEIL DU 7 OCTOBRE 2005
Nombre de
Conseillers en exercice : 12 Présents : 10 Votants
: 10
Convocation du
30.09.2005
Affichage du
12.10.2005
L'an deux mil
cinq, le 7 octobre 2005 à 20 H 30, légalement
convoqué, le Conseil Municipal
s'est réuni sous la présidence de M.
HERBÉ
Etaient
présents
: Mesdames et Messieurs FORCHELET,
SCHWALLER, GRENTZINGER, BAROTTIN, MONTOYA, MUNIER, STEPHAN, BEIX,
SIMONAIRE.
Excusé(e) : Philippe VILLAUME, Jacques FRANCOIS
Absent(s) :
Secrétaire
de séance
: Mme FORCHELET
Après
avoir entendu l’avis des membres de la commission communale
d’aménagement
foncier (CCAF), le Conseil, à
l’unanimité,
regrette que la CCAF ne tienne pas suffisamment compte des
contraintes à
venir en matière de déplacement des engins
agricoles.
L’assemblée
décide que les chemins portés dans le tableau
suivant seront classés chemins
ruraux :
Numéro |
nom |
situation
avant |
Affectation |
1 |
chemin de Dombasle |
CR |
CR |
4 |
chemin des Carrières |
CR |
CR |
5 |
chemin des Vignes |
CR |
CR |
6 |
chemin Fontaine Madame |
inexistant |
CR |
7 |
chemin Fontaine Madame |
inexistant |
CR |
8 |
chemin des Bergeries |
CR |
CR |
9 |
chemin du Palozé |
inexistant |
CR |
10 |
chemin du Chaux-four |
CR
+ partie inexistante |
CR |
11 |
chemin de Boutonnier |
CR
+ partie inexistante |
CR |
12 |
sentier Montgadin |
CR |
CR |
15 |
chemin des Fourrières |
CR |
CR |
16 |
chemin du Petit Pourpre |
inexistant |
CR |
17 |
chemin du Bief de Behard |
Inexistant |
CR |
18 |
chemin du Bief de Behard |
Inexistant |
CR |
19 |
chemin de l'horloge |
CR |
CR |
20 |
ruelle de Domevre |
CR |
CR |
20 |
chemin de Behard |
CR |
CR |
21 |
chemin du Grand Etang |
inexistant |
CR |
21 |
chemin de Trimolot |
CR |
CR |
23 |
chemin des Fleurs |
CR |
CR |
29 |
chemin des Enseignes |
CR+inexistant |
CR |
35 |
chemin sous Domêvre |
inexistant |
CR |
39 |
chemin de Retrait Bagard |
inexistant |
CR |
40 |
chemin des Pâquis |
CR |
CR |
41 |
chemin des Censitaires |
inexistant |
CR |
42 |
chemin de Rascenel |
inexistant |
CR |
Le
Conseil ne se prononce
pas sur le statut des chemins 3, 13 et 14 puisqu’ils ne sont
pas situés sur la
commune de Haraucourt.
Tous
les autres chemins sont classés chemins
d’exploitation.
EQUIPEMENT
INFORMATIQUE DE L'ECOLE
L'Inspection
Académique souhaite
que la commune équipe chaque classe d'un ordinateur car les
notes, circulaires
ou autres documents ne seront plus transmis que par le biais d'Internet
(ces
appareils ne seront pas destinés aux
élèves).
Pour
des raisons budgétaires, cet investissement ne peut
être étudié qu'après le 1er
janvier prochain.
L'Académie subventionne ce type d'équipements
mais les délais d'instructions
sont longs. Afin de se mettre "en bonne position", il est
préférable
de déposer la demande de subvention auprès de
l'Académie dès maintenant. Il est
demandé l'autorisation de déposer une demande de
subvention pour 4 ordinateurs,
une imprimante laser couleur et un équipement
réseau "WIFI" pour un
montant de 5 500 € TTC.
Après en avoir délibéré, le
Conseil Municipal n'accepte pas d'investir dans du
matériel neuf actuellement compte tenu de sa destination qui
n'est pas en
faveur des élèves mais demande au Maire de
rechercher du matériel d'occasion.
Vote
pour l'acquisition d'équipement neuf : M. HERBÉ
Lors
de la dernière réunion, le Conseil a
donné un avis favorable au transfert de la
compétence "animation jeunesse" à la
Communauté de Communes du Grand
Couronné.
Le
contenu de la délibération annonçait :
"Pour mener
toutes actions de culture, loisirs et
vacances en direction des jeunes, à conditions qu'elles
soient proposées à
toutes les communes du territoire. Les communes gardent la
possibilité de
subventionner une association locale, dès lors qu'elle
proposera des actions
locales…".
Il convient
d'ajouter "et accessibles"
dans ce paragraphe à la place suivante : "Pour mener
toutes actions de culture, loisirs et
vacances en direction des jeunes, à conditions qu'elles
soient proposées et
accessibles à toutes les communes du
territoire. Les communes gardent
la possibilité de subventionner une association locale,
dès lors qu'elle
proposera des actions locales…"
Après
en avoir délibéré, le Conseil
Municipal reprend la
délibération de la manière suivante :
"COMMUNAUTE DE COMMUNES DU GRAND COURONNE : TRANSFERT DE COMPETENCE "ANIMATION JEUNESSE"
Cette
délibération annule et remplace celle du 30
septembre dernier.
Vu l'article L5211-17 du Code
Général des Collectivités
Territoriales sur le transfert de compétence aux
intercommunalités,
Vu la
délibération n° 072/09/2005 prise
à l'unanimité
par la Communauté de Communes du Grand Couronné
le 19 septembre 2005 et
relative au transfert de la compétence "animation jeunesse",
Vu le libellé de la
compétence "animation
jeunesse" transférée à la
Communauté de Communes et jusqu'alors détenue
par les communes :
"Pour mener toutes actions de
culture, loisirs et
vacances en direction des jeunes, à conditions qu'elles
soient proposées et
accessibles à toutes communes du territoire. Les communes
gardent la
possibilité de subventionner une association locale,
dès lors qu'elle proposera
des actions locales. A l'inverse, un projet touchant toutes les
communes sera
considéré comme intercommunal : il pourra donc
prétendre à être
subventionné
par la Communauté de Communes et non plus par les communes."
Vu la notification par le
Président de la Communauté de
Communes en date 29 septembre 2005, de la compétence sus
nommée.
Le transfert de
compétences devant être
décidé par
délibération concordante de la
Communauté de Communes et des Conseils
municipaux se prononçant dans les mêmes conditions
de majorité requise pour la
création de l'établissement public de
coopération intercommunale, le Conseil
Municipal, après en avoir
délibéré, à la
majorité, émet un avis favorable au
transfert de la compétence "animation jeunesse" de la
commune de
HARAUCOURT."
S'abstient : M.
SIMONAIRE
Aménagement
de l'entrée du bâtiment
Lors
de la 1ère ouverture des
plis concernant l'ensemble du projet école, le lot
n° 1 a été déclaré
infructueux pour cause d'offres trop élevées et
un 2eme appel a été lancé. Le
second n'est pas plus fructueux que le 1er. Devant l'urgence, la
commission a
accepté l'offre du lot n°1 (aménagement
des classes) et souhaite connaître
l'avis du Conseil concernant l'option, "aménagement
extérieur".
Cette option a pour but de faciliter l'accès à la
mairie aux personnes à
mobilité réduite et d'aménager une
2eme entrée pour l'école maternelle qui
ainsi, pourrait être séparée de
l'entrée des autres classes. L'abandon éventuel
de cette option ne remet pas en cause les travaux à
l'école pour lesquels
l'ordre de service ne va pas tarder à partir.
Maintenir l'option pose un sérieux problème
financier dans la mesure où les
subventions ont été demandées sur la
base des prévisions de l'architecte, alors
que l'offre est de 45% au-dessus des estimations, ce qui
augmente
singulièrement le coût à la charge de
la commune. Les 45% seraient à la charge
intégrale de la Commune.
(Une idée des prix proposés : 450F/m²
pour du béton, 200F/m2 pour mettre en
place de la terre végétale !)
Le lancement d'un 3eme appel d'offres engage des frais non
négligeables
(environ 1000 € rien qu'en annonces légales) pour
un résultat incertain.
Il est proposé d'abandonner (provisoirement) l'option et
d'autoriser le Maire à
demander à la Préfecture de "glisser" la
subvention DGF de l'option
vers l'aménagement des classes. D'après les
contacts, cela ne pose pas de
problème administratif.
Après
en avoir délibéré, le Conseil
Municipal, à l'unanimité, décide de ne
pas
abandonner ce dossier mais demande à ce que certains points
soient revus. Il
demande que la subvention attribuée au titre de la DGE soit
transférée sur le
dossier d'aménagements extérieurs et
intérieurs de l'école et extension de la
maternelle et qu'une aide supplémentaire, au titre de la
DGE, lui soit apportée
en fonction des reliquats financiers qui peuvent être
redistribués en fin
d'année.
ADMISSION EN NON
VALEUR
Par délibération du 25/06/2004, le Conseil avait
réfuté toute idée d'amission
en non valeur concernant l'affaire LORSAT.
Par
courrier du 3 octobre dernier, M. le Trésorier Principal
demande au Conseil
d'examiner à nouveau la demande d'admission en
non–valeur, la décision
précédente ayant été prise
en l'absence des pièces justificatives jointes au
dossier, à savoir :
- l'impossibilité,
suite au
décès du responsable de la
Société, de l'absence d'actif, de tiers
à mettre en
cause, de caution personnelle du bail, pour M. le Trésorier
d'aboutir à un
recouvrement complémentaire.
- le contentieux exercé
a abouti
à des recouvrements partiels à hauteur de 10 023 F.
- le locataire (RMIste depuis
1992 et reconnu travailleur handicapé) n'a pas
été suivi dans son projet par
les organismes financiers.
- le redevable, expulsé
d'HARAUCOURT, domicilié chez des tiers, a
bénéficié, jusqu'à son
décès d'une
pension insaisissable (Fonds National de Solidarité)
- les trois héritiers
ont
renoncé à la succession devant le Tribunal de
Grande Instance et ne peuvent
être mise en cause.
M.
le Trésorier rappelle que l'allocation en non-valeur reste
une mesure
administrative d'apurement des comptes et que le juge des comptes reste
compétent en l'affaire.
Le
Conseil, lors de sa décision du 25 juin 2004, avait fait
mention de son
impossibilité de dégager la somme de 15 320,93
€ dans son budget (vote de
crédits en dépenses afin d'effectuer les
écritures comptables nécessaires à
l'effacement de la dette), M. le Trésorier propose
d'étaler la charge sur
plusieurs exercices par mandat au compte 654 (pertes sur
créances
irrécouvrables).
Après
avoir pris
connaissance des pièces administratives jointes au dossier,
et après en avoir
délibéré, le Conseil Municipal,
à la majorité, ne souhaite pas revenir sur la
décision prise le 25 juin 2004 et réfute toute
idée d'amission en non-valeur.
M. HERBÉ est pour dans la mesure où il est
malsain de garder dans les comptes
une créance qui ne sera jamais recouvrée.
Afin
de réaliser le mur qui doit séparer la future
acquisition communale de la
propriété de la famille COQUERON, un
deuxième devis a été
sollicité. Celui-ci
fait état d'une dépense de 7 895.00 €
pour un mur de 58,67 m de long alors que
le premier devis ne prenait en compte qu'une longueur de 38 m.
Ramené au mètre
linéaire, cette seconde offre s'avère
inférieure à la première.
Après
en avoir délibéré, le Conseil
Municipal, à la majorité, décide de
retenir ce
second devis et retient, par conséquent, l'Entreprise EPM
pour la réalisation
de ce mur pour un montant HT de 7 895 €.
Un
premier vote : 5 pour l'entreprise EPM et 5 pour le devis de la Ste
ECKMANN ne
les départageait pas.
Un
second vote avec 6 voix pour EPM a donné la
priorité à cette entreprise.