Nombre de
Conseillers en exercice
: 15 Présents
: 11
Votants
: 12
Convocation du
29-05-2009
Affichage du 10-06-2009
L'an deux mil
neuf, le 5 juin, à 20 h
30, légalement convoqué, le Conseil Municipal
s'est réuni sous la présidence de
M. HERBÉ
Etaient
présents : Mesdames et Messieurs
BEIX, SCHWALLER, KULIK, MANGIN, barottin,
FOURCAULX, MONTOYA,
FORCHELET, FAGOT-REVURAT, BOURDON,
Excusé(e)(s)
: M. CROUTZ qui donne pouvoir à M. FAGOT-REVURAT, M.
GRENTZINGER
Absent(e)(s)
: M. RICHARD, M. MUNIER.
Secrétaire
de séance : Mme FORCHELET
Reprise
de
la délibération autorisant la vente des parcelles AB 540, 538,536
(parcelles Coqueron)
Lors de la
dernière réunion, le Conseil Municipal avait
accepté de vendre la totalité des
« parcelles Coqueron »
à la Communauté de Communes du Grand
Couronné
à raison de 65 €/M² ; soit 1840 x
65 = 119 600 €. Celle-ci s’est ensuite
aperçue d’une erreur d’affectation ;
seulement 70 000 € ont été
prévus au
budget « maison du sel » et il
n’est plus possible de le modifier.
Un accord a
été trouvé selon lequel la
Communauté de Communes
n’achèterait plus
qu’environ 1075 M², sans modification du prix
au M². La différence resterait
propriété de la commune avec mise à
disposition,
via une convention, au profit de la Communauté de Communes.
Après
en
avoir délibéré, le Conseil Municipal,
à l’unanimité, accepte de vendre
environ
1075 m² à la Communauté de Communes du
Grand Couronné soit la parcelle AB 536
et AB 540 en totalité et la parcelle AB 538 en partie au
prix de 65 €/m². Le
Maire est autorisé à signer tous les documents
nécessaires à cet effet.
Travaux connexes : avenant proposé par ECTP et validé par la commission d’appel d’offres
La Commission
d’appel d’offres et le Conseil ont
accepté
l’offre de l’entreprise ECTP pour les travaux
post-remembrement pour un montant
de 325 000 € HT. Le bureau
d’études chargé de
l’assistance à maîtrise
d’œuvre a ensuite signalé à
la Commune une erreur d’estimation du prix des
matériaux. L’entreprise s’est
aperçue de son erreur lors de la commande de
matériaux qu’elle annonçait
à 12.07 € HT alors que le tarif
« fourniture
carrière » est de 18.07 € HT
(l’entreprise a par ailleurs présenté
la
télécopie de la carrière indiquant ce
tarif). Après négociation et plusieurs
réunions des parties intéressées, ECTP
propose un avenant dans lequel le prix
des matériaux d’empierrement passe de 12.07
€ à 18.07 €/M3 ce qui entraîne
une
hausse de 55 000 € HT du montant initial. N’ayant
pas réellement d’autre choix,
la commission d’appel d’offres a accepté
l’avenant sous condition que
l’entreprise réduise sa prestation afin de limiter
le coût total au montant
initial. Une réunion de travail entre
l’entreprise, le bureau d’étude et la
Commune déterminera les postes sur lesquels porteront les
économies à réaliser.
Il est
à noter que cette modification de prix n’affecte
en
rien le classement de l’attribution du marché car
l’offre de l’entreprise ECTP
reste la moins disante pour le montant du marché et la mieux
disant dans le
rapport de maîtrise d’œuvre.
La commission
d’appel d’offre est souveraine dans ses choix
mais compte tenu de l’incidence sur le montant des travaux,
il apparaît
nécessaire d’en informer le Conseil.
Après
en avoir délibéré, le Conseil
Municipal approuve le
choix de la Commission d’appels d’offre.
M. Buscemi a
quitté la Commune sans pouvoir
consommer la totalité de ses congés car il a
été informé de son embauche, par
une autre collectivité, quelques jours avant la fin de son
contrat. Celui-ci ne
prévoyant pas d’indemnités
compensatrices,
il convient d’autoriser le Maire à
payer les congés dus.
L’indemnité
de congés payés est de 10 % du salaire brut.
Pendant les onze mois de travail
sur la commune, le salaire brut a été de 7747.76
€. Considérant que M. BUSCEMI
a bénéficié de 2 semaines de
congés
représentant 331.37 €,
l’indemnité due est de :
7747.76 € x 10 % = 774.78
€ moins 331.37 € de salaires versés pour
les deux semaines prises, reste à
devoir à cet employé : 443.41 €
brut.
Après en avoir à délibéré, le Conseil Municipal, à l’unanimité, accepte de versé les indemnités de congés payés dus à M. BUSCEMI.
andré
MONTOYA donne un compte rendu de la visite de M. EKLY, architecte de
la maison « du sel ».